Poursuite de l'explo entre plaine agricole et couvert forestier.
En limite de chasse de Bazainville... C'est ce qu'on peut lire sur le petit panneau blanc placardé sur le bouleau au bout du sentier. Heureusement, pas de bruit de tirs ce matin, je vais pouvoir poursuivre mon escapade en toute quiétude, avec les arbres et les oiseaux pour seule compagnie.
Champs de colza et de jeune maïs de part et d'autre du premier plan, lambeau de forêt domaniale à l'arrière. Ce bois clair comporte une belle chênaie, et, ici, une lisière de Betula pendula (sûrement planté), de Prunus avium (merisiers, aisément reconnaissables par leur floraison blanche précoce quand le reste des rameaux est encore nu) et de Sorbier (Sorbus alnifolia), principalement.
Le bois dormant, sleeping beauty.
Plus loin, rentré dans le bois, une allée traversière permet aux chèvrefeuilles des haies et aux noisetiers de pousser. Le vert tendre sort de partout, un régal.
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