Cycas rumphii, famille des Cycadacées. Asie, Afrique de l'Est, Madagascar.
Ce jardin vaut bien des détours! Entre "colleges" britanniques au green impeccable et les artères de la ville à la pierre blonde, ce jardin regorge d'espèces bien intéressantes encore une fois. Une visite sous la canicule de ce week-end, incroyable temps méditerranéen en plein Oxfordshire. Une sieste sous le Parrotia s'impose...
Ici, dans une des serres tropicales.
Bonne soirée!
jeudi 28 avril 2011
mercredi 27 avril 2011
Oxford sous les cytises. New College lane, samedi dernier.
New College Lane, Oxford, samedi dernier.
Le Pont des Soupirs? Non, un pont reliant peut être New College et Hertford College? Je me trouvais dans le New College lane, à l'aube de ce samedi, dans un Oxford encore désert, laissant uniquement les couleurs de cette architecture unique et de ses atours végétaux (glycines, cytises comme ici au 1er plan, fruitiers) s'échapper des hauts murs de ces collèges antédéluviens et vénérés.
Le Pont des Soupirs? Non, un pont reliant peut être New College et Hertford College? Je me trouvais dans le New College lane, à l'aube de ce samedi, dans un Oxford encore désert, laissant uniquement les couleurs de cette architecture unique et de ses atours végétaux (glycines, cytises comme ici au 1er plan, fruitiers) s'échapper des hauts murs de ces collèges antédéluviens et vénérés.
Pause printanière (suite)
Lilas en bonne compagnie, Bretagne sud, la semaine dernière.
Toujours aussi peu de temps pour blogger... C'est une activité décidément chronophage quand le temps manque et qu'on voudrait y consacrer justement un peu plus de temps.
En fin de journée la semaine dernière, alors que les lilas explosent de leurs couleurs et leurs fragrances, les insectes s'activent, les rouge-gorges attendent mon gazon nouvellement semé pour aller le picorer et, ici, par une de ces douces fins de soirée dont la Bretagne me gratifie depuis près de 3 semaines, ce joli bourdon me faisait penser à moi, affairé et débordé devant tant de travail...
Bonne soirée
Toujours aussi peu de temps pour blogger... C'est une activité décidément chronophage quand le temps manque et qu'on voudrait y consacrer justement un peu plus de temps.
En fin de journée la semaine dernière, alors que les lilas explosent de leurs couleurs et leurs fragrances, les insectes s'activent, les rouge-gorges attendent mon gazon nouvellement semé pour aller le picorer et, ici, par une de ces douces fins de soirée dont la Bretagne me gratifie depuis près de 3 semaines, ce joli bourdon me faisait penser à moi, affairé et débordé devant tant de travail...
Bonne soirée
dimanche 17 avril 2011
Jardin secret en Bretagne sud. Glycine à profusion.
Depuis la rue... Filtration des vues, couleurs et transparence : la Glycine est décidément un outil paysager passionnant.
Par-dessus le haut mur (splendide), le peu que l'on aperçoit fait saliver à propos du reste. Un rosier grimpant caresse la façade (un Iceberg? un Banksiae?), des petites réglisses des bois (Polypodium vulgare) s'accrochent au mur et le végétalisent avec grâce.
Ici, dans ce vieux jardin magnifiquement entretenu, l'élégance est de mise. Une glycine probablement centenaire, des fougères qui s'accrochent à un vieux mur, un balcon perché pour dominer le jardin... Ce jardin somptueux se tient à l'abri des regards indiscrets (sauf des miens!), à deux pas du Golfe et de son air atlantique iodé, propice à une douceur toute l'année. Idéal pour s'amuser avec la palette végétale.
Un océan de Glycine depuis la rue, autant que depuis ce balcon romantique.
Par-dessus le haut mur (splendide), le peu que l'on aperçoit fait saliver à propos du reste. Un rosier grimpant caresse la façade (un Iceberg? un Banksiae?), des petites réglisses des bois (Polypodium vulgare) s'accrochent au mur et le végétalisent avec grâce.
Ici, dans ce vieux jardin magnifiquement entretenu, l'élégance est de mise. Une glycine probablement centenaire, des fougères qui s'accrochent à un vieux mur, un balcon perché pour dominer le jardin... Ce jardin somptueux se tient à l'abri des regards indiscrets (sauf des miens!), à deux pas du Golfe et de son air atlantique iodé, propice à une douceur toute l'année. Idéal pour s'amuser avec la palette végétale.
Un océan de Glycine depuis la rue, autant que depuis ce balcon romantique.
samedi 16 avril 2011
Forêt d'iris au potager du Roi. Versailles, la semaine dernière
Iris des vergers en creux du Potager.
Petit flash back direction la semaine dernière pour remettre à l'honneur les iris du Potager du roi. Ils s'alignaient discrètement au pied d'un cordon de poiriers et ce matin-là, une fois n'est pas coutume, ce sont eux qui attiraient toute mon attention. Une lumière douce de contre-jour et c'était dans la boîte.
D'autant que le soleil s'amusait à y refléter les traces d'une toile d'araignée.
Bon week-end!
Petit flash back direction la semaine dernière pour remettre à l'honneur les iris du Potager du roi. Ils s'alignaient discrètement au pied d'un cordon de poiriers et ce matin-là, une fois n'est pas coutume, ce sont eux qui attiraient toute mon attention. Une lumière douce de contre-jour et c'était dans la boîte.
D'autant que le soleil s'amusait à y refléter les traces d'une toile d'araignée.
Bon week-end!
jeudi 14 avril 2011
Pause printanière
mercredi 6 avril 2011
Lever de soleil au Potager du roi, ce matin
Le Potager n'est qu'une fleur, cette semaine voyant l'explosion simultanée des pommiers et des poiriers, succédant de peu aux pêchers. Ici, une fleur d'un pied centenaire de poirier "Doyenné du Comice", dont l'épaisseur des pieds donne une fierté certaine aux jardiniers qui l'entretiennent depuis 120 ans!
Le jardin mérite une attention de tous les jours, mais il le rend bien.
mardi 5 avril 2011
Glycine en fleur. Au Potager du roi, cet après-midi
Saint Louis encore et toujours en arrière-plan... Aujourd'hui la glycine bientôt croulante de grappes parfumées.
On sent que la glycine n'en a plus que pour quelques jours pour embaumer cette partie sud de la terrasse Le Lieur, au nord du Potager. Le mur plein sud la rend hâtive, cette Wisteria. Les grappes florales de cette grimpante de la famille des Papilionacées seront bientôt pendantes sous le poids. Pour l'instant, légères, elles cherchent la lumière et pointent leur nez vers le soleil... On voit d'ailleurs que les plus âgées commencent déjà leur course descendante.
Cette grimpante est parfaite à palisser contre un mur plein sud, comme ici. On peut aussi la conduire sur tige, ce sujet isolé aux rameaux tortueux deviendra avec le temps un point remarquable du jardin.
Entre Richebourg & Guignonville. En lisière forestière, dimanche matin.
Poursuite de l'explo entre plaine agricole et couvert forestier.
En limite de chasse de Bazainville... C'est ce qu'on peut lire sur le petit panneau blanc placardé sur le bouleau au bout du sentier. Heureusement, pas de bruit de tirs ce matin, je vais pouvoir poursuivre mon escapade en toute quiétude, avec les arbres et les oiseaux pour seule compagnie.
Champs de colza et de jeune maïs de part et d'autre du premier plan, lambeau de forêt domaniale à l'arrière. Ce bois clair comporte une belle chênaie, et, ici, une lisière de Betula pendula (sûrement planté), de Prunus avium (merisiers, aisément reconnaissables par leur floraison blanche précoce quand le reste des rameaux est encore nu) et de Sorbier (Sorbus alnifolia), principalement.
Le bois dormant, sleeping beauty.
Plus loin, rentré dans le bois, une allée traversière permet aux chèvrefeuilles des haies et aux noisetiers de pousser. Le vert tendre sort de partout, un régal.
En limite de chasse de Bazainville... C'est ce qu'on peut lire sur le petit panneau blanc placardé sur le bouleau au bout du sentier. Heureusement, pas de bruit de tirs ce matin, je vais pouvoir poursuivre mon escapade en toute quiétude, avec les arbres et les oiseaux pour seule compagnie.
Champs de colza et de jeune maïs de part et d'autre du premier plan, lambeau de forêt domaniale à l'arrière. Ce bois clair comporte une belle chênaie, et, ici, une lisière de Betula pendula (sûrement planté), de Prunus avium (merisiers, aisément reconnaissables par leur floraison blanche précoce quand le reste des rameaux est encore nu) et de Sorbier (Sorbus alnifolia), principalement.
Le bois dormant, sleeping beauty.
Plus loin, rentré dans le bois, une allée traversière permet aux chèvrefeuilles des haies et aux noisetiers de pousser. Le vert tendre sort de partout, un régal.
lundi 4 avril 2011
En plein champs... Echappée printanière dans les Yvelines
La lisière entre les parcelles agricoles de la plaine de Houdan (Yvelines) et la ferme fortifiée (somptueuse maladrerie fondée par les Templiers au XIII°) est nette : les Prunelliers assurent un beau contraste avec le vert franc des jeunes pousses de maïs.
Approchons-nous...
Les mêmes Prunelliers (Prunus spinosa, famille des Rosacées) explosent, leur floraison précoce avant l'apparition des feuilles donne une teinte lumineuse à un jour bien gris.
Et là, à l'abri d'une remise...
Des tuiles disparaissent peu à peu sous les assauts du temps... et du lierre.
La pluie approche, le temps de regagner le couvert forestier pour poursuivre l'explo... Affaire à suivre !
Approchons-nous...
Les mêmes Prunelliers (Prunus spinosa, famille des Rosacées) explosent, leur floraison précoce avant l'apparition des feuilles donne une teinte lumineuse à un jour bien gris.
Et là, à l'abri d'une remise...
Des tuiles disparaissent peu à peu sous les assauts du temps... et du lierre.
La pluie approche, le temps de regagner le couvert forestier pour poursuivre l'explo... Affaire à suivre !
dimanche 3 avril 2011
Balade en Vallée de l'Eure, couleurs printanières de rigueur
En lisière des rives de l'Eure, un rideau de caducs - sauf le grand conifère sombre qui se détache des autres - notamment des Acer campestre (Erables champêtres) en plein débourrement, reconnaissables à leurs inflorescences jaune vif. Au-delà, on aperçoit la topographie qui remonte jusqu'à la crête qui surplombe le village de Nogent le Roi, plus à l'ouest.
Qui dit Printemps dit retour des explo en moto.... Hier, cap sur la Vallée de l'Eure. Journée splendide, couronnée d'un temps plus que printanier. Occasion rêvée de parcourir les vallées depuis Paris et s'arrêter - souvent - pour immortaliser les paysages.
L'abbaye de Coulombs (Eure et Loir), en bordure d'Eure. Pris des hauteurs de la route de Condé sur Vesgre, depuis un verger qui a déjà des airs de Normandie...
L'Eure tranquille à Nogent le Roi, entre Paris et la Normandie, hier.
Les couleurs vives, les oiseaux omniprésents, les odeurs qui montent, le colza qui atteint déjà près d'un mètre par endroit, tout participe à me mettre de bonne humeur avant d'attaquer la semaine.
Qui dit Printemps dit retour des explo en moto.... Hier, cap sur la Vallée de l'Eure. Journée splendide, couronnée d'un temps plus que printanier. Occasion rêvée de parcourir les vallées depuis Paris et s'arrêter - souvent - pour immortaliser les paysages.
L'abbaye de Coulombs (Eure et Loir), en bordure d'Eure. Pris des hauteurs de la route de Condé sur Vesgre, depuis un verger qui a déjà des airs de Normandie...
L'Eure tranquille à Nogent le Roi, entre Paris et la Normandie, hier.
Les couleurs vives, les oiseaux omniprésents, les odeurs qui montent, le colza qui atteint déjà près d'un mètre par endroit, tout participe à me mettre de bonne humeur avant d'attaquer la semaine.
samedi 2 avril 2011
Statuaire versaillaise sur fond de ciel menaçant...
Allée de l'Eté, Parc de Versailles. Le grain approche...
Mardi dernier, le ciel le matin radieux a peu à peu fait place à un dense voile gris, rapidement suivi en fin de journée d'ondes anthracites, menaçantes puis inquiétantes! Aucun abri à l'horizon, seules les Dieux de l'Olympe restaient de marbre et nous courions, autant que nous pouvions, chercher un refuge temporaire avant la débâcle.
Au pied du Parterre nord, depuis l'allée haute du Bosquet des Bains d'Apollon. Premières averses avant l'orage. Le Parc se vide brusquement de tous ses habitants
Mardi dernier, le ciel le matin radieux a peu à peu fait place à un dense voile gris, rapidement suivi en fin de journée d'ondes anthracites, menaçantes puis inquiétantes! Aucun abri à l'horizon, seules les Dieux de l'Olympe restaient de marbre et nous courions, autant que nous pouvions, chercher un refuge temporaire avant la débâcle.
Au pied du Parterre nord, depuis l'allée haute du Bosquet des Bains d'Apollon. Premières averses avant l'orage. Le Parc se vide brusquement de tous ses habitants
vendredi 1 avril 2011
Palmier tropical au Jardin botanique de Munich
Les semaines passent et ne se ressemblent pas... à ceci près que le temps manque de plus en plus pour blogger !
Voici donc un petit clin d'oeil aux serres tropicales du Jardin botanique de Munich où j'ai traîné à nouveau mes basques ce week-end, histoire d'en rapporter encore des couleurs, des odeurs et toujours de nouvelles plantes à ajouter à ma palette végétale.
Ici, un palmier Licuala grandis, originaire des îles Nouvelles Hébrides.
Esthétisme et rigueur des nervures...
Voici donc un petit clin d'oeil aux serres tropicales du Jardin botanique de Munich où j'ai traîné à nouveau mes basques ce week-end, histoire d'en rapporter encore des couleurs, des odeurs et toujours de nouvelles plantes à ajouter à ma palette végétale.
Ici, un palmier Licuala grandis, originaire des îles Nouvelles Hébrides.
Esthétisme et rigueur des nervures...
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